Appel à communications - Congrès 2022 - Paysage

23 janvier 2022

Volets inéluctables d’une étude d’impact, les impacts visuels et les transformations du paysage se retrouvent souvent au cœur des débats ou même des polarisations sur les projets de développement. À l’heure où le gouvernement québécois a sa Politique nationale de l’architecture et de l’aménagement du territoire en gestation, le champ de l’évaluation environnementale doit pouvoir comprendre et considérer l’attachement profond des gens à leur territoire, souvent intimement lié à la notion du paysage. Urbain, bucolique, familier, tranquille, austère, impressionnant : autant de qualificatifs au paysage qui rendent complexe son évaluation.

Grâce à son congrès, l’AQÉI souhaite explorer comment inclure toute cette complexité de la notion de paysage dans l’évaluation d’impacts. Le parcours des congressistes se divisera en deux volets : paysages ruraux et paysages urbains.

L’AQÉI aimerait recevoir des propositions de communications sur les innovations, méthodes et projets d’intérêt en lien avec le paysage dans les secteurs énergétiques, industriels et d’infrastructures de transport, notamment sur l’aspect esthétique du paysage mais également sur la perception sociale et sa valeur émotive. Les sous-thèmes suivants pourraient être développés :

• Impacts visuels des grandes infrastructures
• Méthodes d’analyse des impacts
• Outils : simulations visuelles, vidéos promotionnels à l’égard d’un projet
• Mesures d’atténuation : intégration visuelle, paysagement, éclairage architectural, etc.
• Patrimoine, design et architecture
• Mobilisation du public ou intégration des préoccupations pour l’enjeu paysage
• Valeur des paysages en régions éloignées
• Etc.

Prière de remplir le formulaire suivant si vous souhaitez proposer une communication pour notre congrès : Appel comm Congres2022.docx et le renvoyer à aqei@aqei.qc.ca. Nous avons hâte de lire vos propositions! L’appel à communications a été prolongé et se poursuit : vous avez jusqu’au 11 mars 2022 pour nous les soumettre. 

Source : Alexandra Boileau